31 mai 2006

 

Un stick USB qui vous trace

gadgets

Track Stick est un petit stick USB qui tient dans la poche. Gardez-le tout le temps avec vous et il enregistrera locations, temps, dates, vitesses, directions et altitudes à intervalles réguliers. Avec plus d'1 Mb de mémoire, ce traceur GPS peut enregistrer plusieurs mois de déplacement.

Le Track Stick reçoit les signaux de 24 satellites. Avec cette information, il peut calculer précisement sa position (et donc la vôtre) partout sur la planète avec une précision de 15 mètres. Il peut aussi calculer combien de temps vous passez à l'intérieur, c'est-à-dire quand il ne reçoit plus de signal GPS. Et hop, encore un besoin qui se crée (si, en cherchant bien).

D'autant plus que l'historique peut être généré aux formats ...
En effet, son intégration avec Google Earth permet de générer une animation qui retrace votre route en 3 dimensions. Quelle somptueuse promesse.

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30 mai 2006

 

Scanner d'iris pour téléphones portables


gadgets

On peut lire sur le site de xvista que cette société britannique a mis au point une technologie de scan et de reconnaissance d'iris, capable de tourner sur des systèmes réduits tels les téléphones portables ou pocket PCs, éventuellement équipés d'un appareil photo.

Une fois la photo de l'oeil dans l'appareil, il faut moins d'une seconde à l'algorithme pour la traiter et identifier l'individu à qui appartient cet iris.

Pour donner une échelle, une carte SD de 256 MB peut contenir 250 000 descriptions d'iris d'individus. On peut dès lors imaginer de plus grands périphériques de stockage ou plus simplement une base de donnée distante et partagée. On peut ainsi rêver à des applications policières ou militaires. Et de fait, xvista travaille actuellement en collaboration avec la défense britannique.

D'après cette société, la chance de trouver 2 humains avec la même identification de l'iris est de une sur 7 milliards. Comme par hasard. Elle ajoute que d'après des tests gouvernementaux, la reconnaissance rétinienne atteint un taux de succès de 96%. La reconnaissance digitale 81% et la reconnaissance faciale 69%.

Notons pour finir que des chercheurs canadiens planchent sur un projet de reconnaissance des ondes cérébrales qui est, en théorie, infaillible. La réalisation commerciale devra cependant attendre encore quelques années...

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La loi de Moore s'arrête maintenant

informatique


Gordon Moore est, à la base, un chimiste américain. Maintenant âgé de 77 ans, il est le co-fondateur d'Intel (1968).
En 1965, pour les 35 ans du magazine Electronics, son rédacteur en chef lui demande de rédiger un article sur l'avenir des composants de semi-conducteurs pour les dix années à venir. Pour répondre à cela, il a effectué une petite extrapolation : le plus gros circuit disponible de l'époque contenait une trentaine de composants.
Au vu de l'historique, il en a conclu que leur nombre doublait presque tous les deux ans. Dans son article, il imagine le même comportement pour les 10 années à venir.
L'article comprend aussi 2 autres points : la fréquence d'horloge des processeurs doubleront également tous les deux ans et les prix continueront de baisser.
Et il s'est avéré que sa prévision était bien plus précise qu'il n'aurait pu l'imaginer.
L'un de ses amis a baptisé ce postulat "la loi de Moore" et le nom est resté.

Maintenant qu'on a bien cassé le mythe prophétique qui tournait autour de cette loi, continuons sur notre lancée...
En 1975, dix ans après cet article, son énoncé a subi un petit lifting (18 mois au lieu de 2 ans) mais il est toujours d'actualité ... enfin jusqu'à présent.

Fin 2003, Intel écrivait un article qui annonçait qu'il ne pourrait diminuer indéfiniment la taille des composants et que vers 2018, ce point de la loi de Moore ne sera plus applicable.
Mais plus proche de nous, depuis fin 2004, on se rend compte que la vitesse des processeurs n'augmente plus vraiment. Ca fait un bout de temps qu'on tourne avec nos chers 4 GHz, chez Intel comme chez les autres.

Evidemment, la fréquence ne fait pas tout : plus de composants (transistors) encore pendant 15 ans et des processeurs multi-core qui permettront de mieux distribuer les tâches..

Ah oui, il est à noter également que l'article de Moore décrivait un avenir où chacun aurait son propre ordinateur à la maison et où on porterait des montres électroniques. Et ça, même si la loi vit ses dernières minutes, ça c'est fort.



source : stuff, la semaine passée.
pour ceux qui ne savent pas :
- Les semiconducteurs sont des matériaux présentant une conductivité électrique intermédiaire entre les métaux et les isolants. Ils sont primordiaux en électronique parce qu'ils offrent la possibilité de contrôler, par divers moyens, à la fois la quantité de courant électrique susceptible de les traverser et la direction que peut prendre ce courant.
-
Multicore caractérise un processeur possédant plusieurs cœurs, c'est-à-dire plusieurs sous-processeurs complets.

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29 mai 2006

 

Hacker sa Toyota Prius


automobile


La Toyota Prius est la première voiture hybride vendue en grosse production sur le marché mondial. D'abord au Japon en 1997 puis partout ailleurs en 2001. Deux ans plus tard, près de 160 000 voitures étaient produites en destination du Japon, de l'Europe et de l'Amérique du Nord.
Elle a subit un lifting en 2003 et là voilà.

Un véhicule hybride utilise plusieurs systèmes de propulsion, la plupart étant des véhicules hybrides électrique-essence (ou diésel). Certains modèles, comme la Prius, recharge ses batteries grâce à l'énergie cynétique. C'est même une "full hybride", étant donné qu'elle peut utiliser le moteur à combustion pour générer de l'électricité en faisant tourner un générateur (un second moteur électrique en quelque sorte). Plus de détails à cette adresse.
Dans la même catégorie, citons aussi la Honda Civic IMA.

Et arrivons enfin au sujet qui nous intéresse. Certains propriétaires de Toyota Prius ne sont pas convaincus par les fonctionnalités de leur voiture, et tentent tout simplement de la hacker, c'est-à-dire d'en modifier certaines caractéristiques!

Le premier niveau consiste à éliminer le beeeeeep de la marche arrière ou de la ceinture non-bouclée. La procédure n'est pas facile mais elle est pourtant presque expliquée dans le manuel.

Le niveau suivant consiste à pouvoir utiliser l'ordinateur de bord alors que l'on conduit. A l'origine, la plupart des commandes sont inaccessibles au-delà d'une certaine vitesse. Là, c'est déjà plus difficile et un peu moins légal, étant donné que les constructeurs automobiles sont parfois attaqués en justice en cas d'accident. C'est bête mais ca marche, dans certains pays. Alors les constructeurs se protègent en implémentant cette limitation.

Après ça se corse, mais l'intérêt grandit : il s'agit de forcer la voiture à tourner grâce à la puissance électrique et donc de réduire la consommation d'essence. A noter aussi que les modèles Japonais ou Européens permettent de rester en mode électrique à faible vitesse, chose que ne permet pas le modèle Américain. Il y a d'ailleurs un petit vide à l'endroit du bouton prévu à cet effet. Il y a donc des américains pour s'étonner de ce manquement, d'autant plus que la consommation et donc la pollution s'en trouvent vraiment réduites. Il existe donc aussi des sociétés américains (Coastal Electronics) qui vendent des kits de modification pour ajouter cette fonctionnalité.


A cette adresse, on peut lire qu'une équipe de passionnés a hacké une Prius, c'est-à-dire ajouté une batterie et modifié son logiciel (ils appellent ça un plug-in) pour parcourir un long trajet en utilisant uniquement l'énergie électrique.

A cette adresse, on peut lire qu'un gars a remplacé l'ordinateur de bord par un iMac. Pourquoi pas mais bon.
A cette adresse, une DoLorean à vendre mais ça n'a rien à voir...


source : news.com, la semaine passée.

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24 mai 2006

 

un ascenseur vers l'espace ... compromis

exploits


Au mois de novembre, on vous parlait de ce fabuleux défi : l'ascenseur vers l'espace. Un rappel ici.
Nicola Pugno, un polytechnicien de Turin a fait ses calculs : ça ne tiendra pas..
Selon lui, les défauts existant à l'échelle atomique réduiraient la solidité de ce genre de cable d'au moins 70% .

Pour cette application, le cable en nanotubes devrait résister à une tension de 62 milliards de pascals (62 GPa). C'est un peu comme si, au jeu de la corde, 100 000 personnes tiraient de chaque côté !
Et les tests en laboratoire ont montré que des nanotubes peuvent résister à environ 100 GPa. Mais s'il manque juste 1 atome de carbone dans la formation cristalline du bazar, sa solidité est réduite d'environ 30%.
Et des mesures récentes sur des nanotubes de très bonne qualité ont démontré qu'il manquait 1 atome tous les 4 micromètres ! Des défauts avec 2 atomes manquants, c'est bien plus rare mais Pugno fait remarquer que le cable mesure 100 000 km, ce qui augmente considérablement les probabilités.
Ses calculs, qu'il va publier en juillet, montrent que de gros défauts de ce genre peuvent réduire la solidité du cable à moins de 30 GPa, aïe.
Et encore, tout ça, c'est sans parler des micro-météorites et de l'érosion dû à l'oxygène.



Et de l'autre côté de tout ça, il y a Bradley Edwards, qui a réalisé l'étude de faisabilité pour la NASA et même écrit un livre sur le sujet. Il est aussi le président et le fondateur de la société Carbon Designs, et rien que pour ça, on voit qu'il est malin. Bradley clame qu'il est capable de fabriquer des cables résistant au seuil de 62 GPa d'ici les 3 années qui arrivent. Je vous passe ses arguments techniques.


Bref, les discussions vont bon train et la date de 2010 semble vraiment compromise. Cependant, que ce soit début ou fin de ce siècle, l'ascenseur vers l'espace verra le jour.

source : news@nature.com, avant-hier.
pour ceux qui ne savent pas : la pression, c'est la force divisée par la surface sur laquelle elle s'applique. Elle s'exprime donc en Newtons par m², c'est-à-dire des Pascals (Pa). 1 GPa = 1 GigaPascal = 1 milliars de pascals.
Un newton est la force capable de communiquer à une masse de 1 kilogramme une accélération de 1 m/s².

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La défense de notre corps et de nos ordinateurs, même combat

informatique


Uwe Aickelin est un scientifique de l'université de Nottingham. Il dirige une équipe qui développe un système immunitaire pour les réseaux d'ordinateurs. Ce système tend à imiter au maximum le corps humain!

Pour vous dire, dans l'équipe, on trouve aussi Steve Cayzer, un neurologiste informaticien (!!) des laboratoires HP à Bristol et Julie McLeod, une immunologiste de l'université de West of England.




Dans le passé, de telles recherches existaient déjà mais se concentraient sur des applications qui surveillaient un réseau de la même façon que des globules blancs surveillent les molécules extérieures : cherche, trouve, tue ... en quelque sorte.

Dans notre cas, Uwe (un prénom qu'il faut encaisser) et son équipe ont pris en compte les nombreuses anomalies de notre système immunitaire, comme par exemple le manque de réponse aux protéines ingérées dans la nourriture ou la présence d'un foetus.
Résultat : ces gaillards ont modélisé un système, basé sur l'étude des cellules dendritiques, qui ne combat que les agents extérieurs qui causent réellement des problèmes. Il faut dépasser un seuil pour qu'une action soit prise : une augmentation considérable du trafic ou de messages d'erreurs. Un seul PC qui vérifie son adresse IP et vérifie qu'il est online sera bien détecté comme étant une fausse alarme (pas de quoi s'inquiéter) tandis qu'une attaque à coup de millions de pings enclenchera la grande lampe rouge de l'ICT, avec la sirène et tout le bazar...


source : NewScientistTech, la semaine passée.
Pour ceux qui ne savent pas : Des cellules denditriques sont des cellules immunocompétentes des systèmes lymphoïdes, hémopoietic et de la peau. Elles s'appellent également les cellules interdigitales, réticulaires, et voilées. Elles fonctionnent morphologiquement et phenotypiquement en traitant des antigènes ou en les présentant aux cellules-T, stimulant de ce fait l'immunité cellulaire. Je sais ça a l'air décousu comme ça mais je vous retransmet ça pêle-mêle aussi.

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23 mai 2006

 

un bébé-réalité pour la science

sciences

Peut-être que Deb Roy prend son rôle de père un peu trop à coeur. Deb Roy est à la tête du MIT Media Lab's Cognitive Machines research group (!!) et le projet sur lequel il travaille actuellement est pour le moins inhabituel.
Le projet est très sérieux et s'appelle "The Human Speechome Project". Speechome est la compression de speech et de home. Parole et maison. Bon. ok.





Son but, c'est de comprendre comment un être humain acquiert son langage grâce au contexte physique et social au début de son existence. Pour cela, il a décidé d'enregistrer presque tous les instants de son bébé, âgé de 9 mois.
Ca équivaut à 400 000 heures de audio et vidéo pendant 3 ans, à raison de 12 à 14 heures par jour.

Faisons le calcul, 3 ans ça fait environ 15 000 heures. Ce qui veut dire qu'il y a redondance : Roy a installé 11 caméras vidéos multi-directionnelles et 14 micros qui vont enregistrer toute activité dans la maison. Haha, il y a même dans chaque pièce un bouton appellé "Oups" qui efface les dernière minutes enregistrées. C'est vrai! je vous laisse imaginer les situations possibles. Un disque de 5 térabytes stocke temporairement les données avant qu'elles ne soient envoyées au laboratoire (Media Lab) pour analyse.

L'analyse de cette énorme flux de données, c'est justement la partie la plus intéressante du projet. Pour confirmer leurs hypothèses sur l'apprentissage, l'équipe de Roy doit développer un logiciel qui va se mettre à la place de son fils, en analysant les vues et les sons perçus pendant ces 3 ans. Des algorithmes de traitement de la parole ou de la video sont en cours de développement, histoire de donner un sens à toutes les formes de communication inclues dans les images analysées.
De nouvelles techniques de visualisation ont déjà émergé du projet : pouvoir discerner une personne qui marche d'une chambre à l'autre, qui range, qui change les couches...



source : MIT, il y a 2 semaines.

pour ceux qui ne savent pas : le MIT, Massachusetts Institute of Technology est une institution de recherche et une université américaine, spécialisée dans les domaines de la science et de la technologie. Elle est située à Cambridge, dans le Massachusetts, à proximité immédiate de Boston.

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21 mai 2006

 

La machine à inventions

exploits

D'un côté, il y a les algorithmes génétiques, dont le père spirituel est John Holland. En 1980, il implémenta son étude en l'appliquant à l'optimisation de la capacités des pipelines de gaz : il donne au système les caractéristiques de la solution actuelle et lui dit comment juger les performances. Le système modifie aléatoirement les différents paramètres (pression, débit, etc.) et regarde le résultat. Il fait ça beaucoup de fois et garde uniquement les solutions qui ont engendré une amélioration du système, il jette les autres. Ensuite, il combine toutes ces améliorations, regardes les résulats, jette, recombine, etc. Jusqu'à obtenir le meilleur résultat : l'optimisation recherchée.

De l'autre côté, il y a l'intelligence artificielle (IA), dont le principal but est de modéliser les fonctions cognitives humaines, tel la langue ou la reconnaissance d'objets ou situations. Les débouchés sont moins pratiques, mais les chercheurs en IA sont extrêmement optimistes (un sujet de conférence, sérieusement débattu, a été "l'IA pour président ?").

Bref, l'idée de John Koza (et c'est ça qui nous intéresse ici, finalement), c'est de mélanger ces deux domaines de recherche. Le concret de l'un avec les avancées de l'autre. Mais ce qui l'ennuie dans cette histoire, c'est l'incapacité de faire émerger de nouvelles solutions aux problèmes.
En 1987, il se demande pourquoi ne pas permettre à un algorithme génétique, plutôt que de modifier des paramètres, de se modifier lui-même ?

Son idée perce en 1995 : John voit son ordinateur dessiner un circuit électrique. N'y connaissant pas grand chose, il le montre à un collègue qui lui dit qu'il s'agit d'un filtre passe-bas, utilisé dans les amplificateurs. La différence fondamentale, par rapport aux pipelines de son prof Holland, c'est que son algorithme n'est pas parti d'un circuit basique existant, mais juste d'une pile de composants (résistances, capacités, ...). Son algorithme est devenu inventif et créatif !
En apprenant qu'un brevet avait été déposé quelques années plus tôt sur ce type de filtre, John en conclut qu'il est possible de laisser son ordinateur pondre des inventions brevetables.

C'est ce qu'il fait maintenant, à l'aide d'un millier d'ordinateurs en réseau qui font tourner ce genre d'algorithme. Le dernier exemple en date, c'est la NASA qui en profite : pour la mission Space Technology 5, un collègue de John Koza intègre les spécifications basiques d'une antenne et laisse le programme travailler dessus. Des centaines d'itérations plus tard, semble apparaître une erreur : le résultat ressemble à un trombone tordu. Dans aucun chapitre d'aucun document, on ne parle d'antenne tordue. Une fois dans la chambre de test, il s'est révélé que cette antenne était la parfaite solution recherchée par la NASA, intégrant toutes les contraintes de la mission !

source : Popular Science, le mois passé.

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Lui, il va disparaître dans des circonstances inexpliquées...

anecdote



Regardez bien cet homme.
Au sein d'un groupe de travail financier, dans le cadre d'une conférence consacrée à l'avenir de l'Europe, cet homme a suggéré que le trafic de SMS et de courriels soit taxé.

Il propose une taxe d'1,5 eurocent sur les SMS et de 0,00001 euro sur les courriels. Comme leur quantité est très importante, cela constituerait une énorme manne financière pour l'Europe et les états membres de l'Union.

"Un SMS envoyé de Paris vers une autre ville française pourrait être taxé par les autorités françaises, alors qu'un SMS expédié vers l'étranger pourrait représenter une plus-value pour le budget européen."

Cet homme, c'est Alain Lamassoure, un euro-parlementaire français de centre-droite.

Source : EUobserver.com, le 9 mai.


mise à jour du 4 juin 2006:
Depuis l'émoi de la blogosphère à propos de cette proposition, le forum d'Alain Lamassoure est pris d'assaut par les internautes. Ce qui a poussé Alain à écrire une lettre ouverte qui fait la une de son site. La conclusion est celle-ci :

Dans l’immédiat, j’y insiste, de telles idées ne sont pas sur la table de nos travaux européens. Elles ne sont pas mentionnées dans les commandes que nous avons passées aux experts qui travaillent pour nous. Les internautes qui se sont émus au vu de comptes rendus de presse allusifs ou partiels peuvent donc être rassurés. Ils peuvent aussi mettre leur compétence et leur créativité personnelles au service de la recherche de l’utilisation intelligente des outils techniques du XXIe siècle pour répondre aux formidables besoins de solidarité planétaire de notre temps.

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